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L'Ombre de Janus

Versailles ; une région empreinte d’histoire, d’art, de beauté... et d’horreur. Car lorsque le corps mutilé d’une jeune femme est retrouvé, c’est le choc. Surtout que l’assassin lui a coupé la langue avant de signer son crime en lettres de sang sur la peau de sa victime.
Une seconde est bientôt découverte, au grand dam du commissaire Legac que le meurtrier prend bientôt comme porte-parole, lui adressant de macabres charades dont dépend la vie des femmes suivantes. Très rusé, celui qui se fait appeler Janus semble posséder un esprit retors et pervers, ainsi qu’une manière bien particulière de manipuler victimes et enquêteurs.
Forcé de collaborer avec le commandant Jacques Favreau - les deux hommes se détestent cordialement - conscient que le temps joue contre lui, le commissaire Legac parviendra-t-il à mettre un terme à la sordide carrière d’un serial killer pas comme les autres ?

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Articles de presse

Cristelle Jeudy, Nord-Eclair, 5 mai 2001

"Il s'amuse de ceux qui le traquent, se délectant autant des meurtres rituels qu'il commet que de la longueur d'avance qu'il a sur les policiers. Il se proclame "Libérateur", sévit à Versailles et signe ses crimes du nom de Janus... Janus ou le dieu romain aux deux visages. L'assassin s'attaque aux femmes, belles, jeunes, indépendantes et fières de l'être. Le meurtrier défie la police, notamment le commissaire Legac, forcé de travailler avec le commandant Favreau malgré leur inimitié réciproque. De fait, l'enquête piétine alors que les crimes, eux, continuent. Les suspects s'accumulent, on croit voir le coupable déniché quand soudain, un détail vient relancer le suspense. La police parie sur une erreur de l'assassin, lorsque celle-ci survient, Versailles respire, le lecteur itou... Mais vlan, ça recommence. Et l'on repose le livre en se disant que vraiment, l'auteur Laurent Scalese, un Versaillais qui signe ici son second roman policier, n'a rien à envier aux Américains, "rois du genre". Chapeau pour le suspense."

Claude Keiflin, Les Dernières Nouvelles d'Alsace, 9 juin 2001

"Signature de sang..." Lire la suite ici

Nathalie Goursaud, Le Populaire du Centre, 15 mars 2002

"Nous sommes dans L'ombre de Janus, et pas près d'en sortir ! Entrent en scène de crime : les policiers scientifiques, l'équipe Avalanche du commissaire Paul Legac, chargée de traquer les serial killers, et les hommes du commandant Jacques Favreau. Janus mène les flics en bateau, et nous avec. Quand les certitudes tombent à l'eau, qu'est-ce qui reste ? Des indices, des hypothèses. Ils nous mènent à un coupable qui, finalement, se révèle ne pas en être un. Si ce n'est lui, c'est donc un autre. Et voilà repartie la ronde : une nouvelle victime, des prélèvements, une enquête qui piétine et Janus qui se marre... Les amateurs de thrillers américains peuplés de tueurs en série plus impitoyables et plus inquiétants les uns que les autres ne seront pas trop dépaysés, sauf sans doute sur un point. L'action se passe à Versailles, France. Laurent Scalese, avec ce deuxième roman, confirme le talent qui pointait dans Le Samouraï qui pleure."

Jacques Devaux, L'Echo, 31 mai 2001

"Avec Le Samouraï qui pleure, son premier polar..." Lire la suite ici

France Dimanche, 20 avril 2001

"Un thriller français à la hauteur des plus grands romans américains."

Rosita Boisseau, Biba, mai 2001

"Une jeune femme de Versailles est retrouvée ligotée,..." Lire la suite ici

Xavier Lucas, Ouest France, 28 août 2001

"Laurent Scalese déroule son implacable intrigue dans un climat glauque et pesant..." Lire la suite ici

René Deruyk, La Voix du Nord, 30 août 2001

"Les Anglo-Saxons sont les maîtres incontestables du roman policier..." Lire la suite ici

Karine Leroy, Paris Normandie, 14 juin 2001

"Laurent Scalese sait entretenir le suspense. Il faut attendre la dernière ligne de son roman policier L'ombre de Janus pour connaître l'identité de l'assassin. Sans jamais en avoir le moindre doute."

Libération Champagne, 30 mai 2001

"La tension de ce polar ne cesse de monter, accrocheuse, haletante, aiguisant d'autant mieux la curiosité que le romancier n'arrache pas le masque de l'assassin et, très habilement, ménage des surprises. Une réussite qui empoigne."

Gérard Oestreicher, Le Républicain Lorrain, 2 septembre 2001

"Qu'en un jour, en un lieu..." Lire la suite ici

Hubert Lemonnier, La Presse de la Manche, juillet 2001

"Laurent Scalese révolutionne le thriller..." Lire l'interview ici

Pierre Vavasseur, Le Parisien, juillet 2001

"Tous ceux qui ont aimé Les rivières pourpres mais qui se régalent aussi des codes classiques du thriller vont dévorer ce polar à haute tension qui démarre avec un crime particulièrement atroce, met en scène un duo de flics qui se détestent cordialement et joue jusqu'à la fin au chat et à la souris avec la police autant que le lecteur. Une réussite d'écriture et de suspense."

Catherine Jiguet-Jiglaire, Toutes les Nouvelles, mai 2001

"Avec son second roman, Laurent Scalese signe une oeuvre que les inconditionnels de polars ne manqueront pas. Qu'on se le dise parmi les amateurs de frissons, l'histoire se déroule à Versailles, sous les fenêtres du palais royal." Lire l'interview ici

Ecrite par Misandre, extrait du site Les Chroniques de l'Imaginaire, le 17 Octobre 2005

" Laurent Scalese, qui semble affectionner la ville de Paris comme cadre à ses intrigues, nous offre un second roman noir, L'ombre de Janus, qui le confirme dans sa capacité à monter une intrigue ainsi qu'il l'avait déjà prouvé dans son premier roman, Le samouraï qui pleure. Un livre que l'on ne peut lâcher jusqu'à la fin, tant et si bien que, expérience faite, le réveil est dur, le lendemain matin... Avis aux amateurs, du tout bon polar écrit, le fait est assez rare pour être souligné, par un de nos compatriotes !"

Catherine Nohales, extrait du site www.litterature.net

" Est-il bien sage de se balader le soir dans les rues de Versailles la Royale ? Il est permis d'en douter à la lecture de ce thriller français d'excellente facture.
Laurent Scalese s'impose avec discrétion dans le cercle étroit des alchimistes du polar sanglant. Les ingrédients sont certes toujours les mêmes mais le mélange peut ne pas prendre ou être fade, inconsistant.
C'est loin d'être le cas avec L'ombre de Janus, dont l'action se déroule principalement à Versailles et ses environs huppés.
Le prologue se veut tonitruant et machiavélique. Le Libérateur tient un journal, le journal de ses exploits. Cette entrée en matière peut décourager car on peut considérer que la messe est dite. Pas la moindre velléité d'abandon mais une immersion immédiate et passionnée dans ce roman singulièrement sobre et attachant.
Les policiers de L'ombre de Janus sont des policiers bien de chez nous, avec leurs failles et leur univers popularisé par de très nombreux reportages télévisuels. Le commissaire Legac dirige le Service d'Investigation et de Recherches au commissariat de sécurité publique de Versailles. Il est le chef d'une équipe jeune et dynamique, où les rivalités s'exacerbent sans jamais dégénérer. Efficacité et persévérance sont les maîtres mots, malgré quelques brebis galeuses qui tentent de tirer la couverture à elles.
Le patron est un fervent adepte des méthodes américaines dans la traque des tueurs en série. Ces méthodes qu'il applique dérangent les hautes sphères de la police nationale et provoquent par leurs succès la jalousie de ses confrères. Or, un tueur sévit dans un périmètre restreint de la ville, qui défie les méthodes habituelles d'enquête policière. L'homme repère ses proies, les approche et les apprivoise avant de les exécuter. Il a toujours un temps d'avance sur la justice qu'il nargue, qu'il provoque.
Alors, entre les chefs, les inimitiés vont exploser. Le Libérateur les manipule à sa guise, les transforme en pantins. Le commandant Favreau, homme fragilisé par la mort de son épouse et alcoolique, devient sa proie et le piège se referme impitoyablement sur le rival du commissaire. Janus n'épargne personne. Au cours des investigations, il massacre une jeune lieutenant de police, amoureuse éperdue d'un collègue indécis.
Ce pourrait être une énième histoire de tueur en série comme on en voit. Mais je trouve que ce roman est différent de ceux que j'ai présentés plus haut. Les failles de Legac, sa détermination farouche; l'intransigeance inquiète de sa compagne enceinte m'ont infiniment plus touchées que les déboires personnels et professionnels des policiers américains. Ces derniers sont interchangeables d'un roman l'autre, ce qui n'est pas le cas des Français à la personnalité dense et riche. Laurent Scalese dépeint des hommes et femmes au caractère épais et étrangement familier.
La fin m'a soufflée, je ne m'y attendais pas. Chapeau bas !
Je vous laisse sur ces mots de Janus.
"Jeu, set et match...
Une fois de plus, je l'ai battu. [...] Il (le commissaire Legac) est l'un des rares flics français à comprendre comment fonctionnent les tueurs en série.[...] Il n' a commis qu'une seule erreur : celle de me considérer comme un meurtrier récidiviste classique et de dresser mon profil psychologique à partir des spécificités répertoriées par les experts du FBI.. [...]
Je suis très différent de mes "confrères". Pour la plupart, ce sont des médiocres. Ils craignent les femmes. Avant le passage à l'acte, ils les mettent sur le ventre ou leur bandent les yeux pour les empêcher de regarder le "monstre" en face.[...]
Ils tuent par peur.
Je tue par plaisir.[...]"
Qui était Janus ?
"

Paru dans "Ici Paris"

"Un tueur sévit dans la région de Versailles..." Lire la suite ici

Véronique Blocquaux, Versailles Madame, décembre 2001

"Nom : Janus - Profession : tueur en série..." Lire l'interview ici

Journal de France Loisirs, juin 2002

"L'ombre de Scalese plane sur Versailles" Lire la suite ici

Par « LIVRENVIE – BLACK KAT’S BLOG »

« L’ombre de Janus » est le second roman de Laurent Scalese, qui s’est fait connaître avec « Le Samouraï qui pleure » (polar sur la mafia japonaise).Modestement catégorisé "Suspense", c’est bien plus qu’un roman à suspense ou même un policier, c’est un véritable thriller.
Du début jusqu’à la dernière ligne, on est tenu en haleine par une intrigue très bien ficelée. De retournements de situation en rebondissements, bien malin celui qui aura pu deviner l’identité du serial killer. D’autant que le dénouement est très surprenant.
Laurent Scalese nous offre un florilège de personnages attachants et à la psychologie fouillée. Et il confronte deux visions de la police française en la personne du commandant Favreau et du commissaire Legac, tous deux entraînés dans un partenariat involontaire et subi pour essayer de démasquer un criminel en mal de reconnaissance.
L’un, de la vieille école, vrillé à des a priori obsolètes, imbu de sa supériorité de flic, méprisant et méprisable.
L’autre, ouvert d’esprit, tourné vers les nouvelles méthodes appliquées aux Etats Unis, le profilage et l’étude de la psyché criminelle, et qui ne sous-estime en rien la propension au mal de l’individu.
Ce thriller est très bien documenté, à tous niveaux, notamment en ce qui concerne le système judiciaire français et avec quelques anecdotes historiques sur certains lieux de Paris. En bref, ce livre est un véritable bonheur livresque !

BIBA

« Un talent magistral. »

Christelle Jeudy, Nord-Eclair

Lucie était célibataire, belle, jeune, aimant sa vie indépendante et l'assumant pleinement. Quelqu'un l'a tuée, une ombre qui hante les rues de Versailles et signe son crime du nom de Janus. Le commissaire Legac perçoit vite dans cette affaire un esprit organisé qui n’a rien laissé au hasard. Il le sent : ce type a l’habitude de tuer, et il va recommencer. Dès le lendemain, ses craintes se réalisent. Car Lucie n’est que la première victime d’une longue série. Et Janus, tel le dieu aux deux visages, se joue de la police, embarquant le commissaire Legac dans une course vers les enfers. Un cauchemar qui semble ne jamais devoir s’arrêter. Sauf si...
« La police parie sur une erreur de l'assassin : lorsque celle-ci survient, Versailles respire, le lecteur itou... Mais vlan, ça recommence. Et l'on repose le livre en se disant que vraiment, l'auteur Laurent Scalese (...) n'a rien à envier aux Américains, "rois du genre". Chapeau pour le suspense. »