Le Baiser de Jason

Articles de presse

Eliane Laletin, Semaine du spectacle, 30 mars 2005

"Une ambiance digne de Maurice Leblanc où le lecteur, à l'image des personnages, se sent pris dans une toile d'araignée sans fin. On apprécie le traitement de cette aventure, où les rebondissements se succèdent de courses poursuites en pièges angoissants. On se laisse porter par le style direct et énergique de l'auteur. Celui-ci côtoie depuis de nombreuses années les acteurs de la brigade criminelle, ce qui permet à son intrigue de s'appuyer sur des explications extrêmement précises des différentes procédures d'enquête."

Le Vif, l'Express belge, 15 avril 2005

"Les flics de la brigade des stups l'ont surnommé Jason..." Lire la suite ici

Ciné Télé Revue, 7 avril 2005

"Depuis près de cinq ans, Laurent Scalese nous livre des romans policiers d'une facture exceptionnelle. Pour réussir ce coup de maître, sa technique est simple : il accompagne quelques copains des stups sur le terrain et leur demande de " vérifier " l'aspect vraisemblable de ses écrits. Le résultat est surprenant."

Michel Bellaton, Le Dauphiné Libéré, 18 avril 2005

"C'est une histoire de flics..." Lire la suite ici

Cristelle Jeudy, Nord Eclair, 13 mai 2005

"Des baisers comme ceux que Jason, trafiquant de drogue, adresse à ses victimes, merci mais on s'en passe... Dans la capitale, le dealer nargue les mythiques policiers des Stups du 36, quai des Orfèvres. De là à se demander si, dans les rangs de l'équipe du commissaire Vidal, un ripoux ne collabore pas avec l'ennemi, il n'y a qu'un pas... La chasse au trafiquant est lancée, sur un rythme qui ne supporte aucune défaillance dans les rangs des policiers. Un rythme dont le lecteur ressort comme groggy mais avec, au final, un bonheur de lecture vivifiant à souhait. Dans l'intimité des hommes et des femmes des Stups, la description humaine que Laurent Scalese parvient à faire des policiers, sans jamais négliger les détails très fouillés de l'enquête, débouche sur une réussite totale. Et quand un auteur français parvient à surpasser les maîtres du genre noir que sont beaucoup d'Anglo-Saxons, on ne peut qu'attendre avec impatience le prochain opus de Laurent Scalese. Vite, vite..."

Laurence Patrice, librairie Climats, Paris 9e

"Laurent Scalese donne à cette enquête un rythme furieux, soutenu par une intrigue gigogne psychologiquement tendue. Par ailleurs, Scalese utilise son expérience du terrain où il a suivi des missions de la brigade criminelle et des Stups. De fait, il réussit à prodiguer de l'épaisseur à ses personnages... On a presque l'impression de suivre l'enquête caméra sur l'épaule. L'absence de tout manichéisme qui rend chacun des personnages fort intéressant, accentue encore l'effet de projection dans un roman très contemporain et haletant, qui n'a rien à envier à ses modèles noirs anglo-saxons."

Encre Noire, juin 2005

"Suspense et action doivent sans doute figurer en bonne place dans le petit manuel du parfait auteur de polar, version Laurent Scalese. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le lecteur n'a pas le temps de s'ennuyer. Les rebondissements succèdent aux fausses pistes qui elles-mêmes précèdent de peu les coups de théâtre en tout genre... L'histoire, extrêmement violente, nerveuse et rapide, accroche le lecteur, avide d'en connaître le fin mot."

Eure Infos, 27 avril 2005

"Voici un ouvrage qui pourrait bien faire date. Un excellent polar digne de ceux publiés par les Anglo-Saxons, maîtres du genre."

Bruno d'Epenoux, Télé Z, 9 avril 2005

"Ce roman français, violent et angoissant, au rythme rapide, vaut bien les meilleurs du genre..." Lire la suite ici

Sébastien Lapaque, Le Figaro Magazine, 16 avril 2005

"Un mal qui répand la terreur : autrefois, c'était la peste, aujourd'hui, la Grande bleue. Bethsabée ou Super-Betty pour les intimes. Une drogue synthétique au prix exorbitant qui a envahi les milieux branchés à Paris. Après la mort d'une starlette et d'une passeuse sauvagement dépecée, le commissaire Vidal, de la brigade des stupéfiants du quai des Orfèvres, est sur le pied de guerre pour démasquer Jason, le chef du réseau de trafiquants qui sèment la mort sur leur passage avec la maudite poudre bleue. Le quatrième thriller de Laurent Scalese est nerveux et documenté. Attention à la montée d'adrénaline."

Françoise Bertaux, l'Internaute, septembre 2005

"Qu'il est difficile d'interrompre la lecture d'un tel suspense ! Aux Stups, quai des Orfèvres, toute initiative du commissaire Vidal est anticipée par le fameux Jason, qui supervise un énorme trafic de drogue. Epaulé par une équipe efficace, Vidal ne comprend plus rien : il se heurte à un mur, une accumulation sans fin de meurtres. Jamais le lecteur ne devinera qui est Jason."

Misandre, extrait du site Les Chroniques de l'Imaginaire, le 11 Mai 2005

"Voilà une intrigue palpitante qui emporte le lecteur sur un rythme soutenu dans les arcanes du 36 quai des Orfèvres, à la poursuite de ce dealer habile et cruel surnommé Jason. Laurent Scalese, tout en tissant la trame de son récit, nous prouve sa maîtrise du sujet, à tel point que l/’on se demande parfois si l/’auteur lui-même ne serait pas un agent infiltré à la brigade des Stups...Le baiser de Jason est un très bon polar que les amateurs du genre pourront dévorer sans modération, l/’abus de papier étant considéré comme sans danger pour la santé."

Paru dans "Femme actuelle"

"15 minutes avec Laurent Scalese..." Lire l'interview ici

Paru dans "Le journal du district de Cossona (Presse Suisse)"

"L'enquête stupéfiante..." Lire la suite ici

Emmanuel Fèvre, Toutes les nouvelles, aout 2005

"L'auteur Versaillais Laurent Scalese vient de publier son nouveau roman..." Lire l'interview ici

Zonelivre

Une nouvelle came nommée Scalese !
Une jeune femme, une « mule », chargée de drogue se sent mal à l’aéroport… Ses derniers instants sont-ils arrivés ?
Une poudre bleue, une marée mortelle a envahie la capitale et la métropole. Elle peut s’insinuer dans toutes les tranches de la société mais le commissaire Eric Vidal a décidé de mener un combat pour mettre hors jeu Jason, la tête pensante de tout ce projet.
Bethsabée, nom de cette nouvelle dope, vient de tuer Laure Anthony, une des stars du showbiz. Une danse macabre s’est mise en marche, les forces de police font un pas et reculent de deux. Jason semble être sans cesse maître du jeu comme s’il possédait des éléments confidentiels. Le doute commence à s’installer…
Un thiller excellent dans une ambiance qui rappelle des séries telles que « Braquo » ou « 36 Quai des orfèvres » d’Olivier MARCHAL. Certains flics peuvent être « border-line » mais qui montre réellement son vrai visage. Est-il possible de faire ce type de travail sans y laisser son âme et des proches… ?
Un Petit Poucet ensanglanté où des sachets de poudre bleue tiennent la place des petits cailloux. Au bout de la route, un dénommé Jason… à moins qu’il soit juste derrière vous…
Laurent Scalese mène l’action d’un main de maître. Il m’a fait douter jusqu’au bout. J’ai bâti des hypothèses, cru avoir raison… chapeau, un texte tellement captivant que j’ai failli rater l’heure pour aller travailler… Le genre de texte que vous promenez partout : chez vous, dans le bus… et vous pousse à cogiter même lorsque vous l’avez refermé.
A souligner également, la capacité de l’auteur à emmener son lecteur dans des ambiances et des styles différents. « Le baiser de Jason » est un véritable roman policier où l’on voit le mécanisme d’un système judiciaire, tous les rouages d’une équipe de police, la nécessité de collaborer entre différents services. J’aime beaucoup les apparitions d’un autre de ses personnages « Elie Sagane », un peu « guest-star » et qui devient un moment donné le seul élément sur lequel on peut vraiment compter…
« Le samouraï qui pleure » était un thriller qui entrait en résonance avec un autre culture. C’était une dimension différente mais également très riche.
Un point commun à tous ses romans, une réelle capacité à faire naître des images, j’ai vraiment le sentiment d’avoir vu de très grands films, de très bonnes séries. J’espère que l’on aura l’occasion de les voir adapter et surtout que le réalisateur sera à la hauteur de Laurent SCALESE.
N’oublions pas un soin réel porté à l’écriture (pneumophage pour la cigarette…). J’avoue avoir découvert Laurent SCALESE sur le tard. Je connaissais son nom mais je n’avais pris le temps d’ouvrir un de ses romans. Gros coup de coeur avec « Le sang de la mariée» confirmé par la lecture du roman « Le Samouraï qui pleure » (un indispensable pour tous ceux qui aiment l’Asie) et aujourd’hui par Le Baiser de Jason.
Je suis maintenant une très grande admiratrice de son travail, je vous propose donc de m’accompagner ce mois-ci dans la découverte de toute son oeuvre.