Le Livre | Articles de presse


Le Samouraï qui pleure

Dépêché sur une scène de crime, l’inspecteur Elie Sagane découvre les corps atrocement mutilés de la famille Sôichiro, propriétaire d’un restaurant japonais très prisé des parisiens. Pourtant, Sarah Duparc, une criminologue spécialiste de l’Extrême-Orient, évoque une autre théorie : il s’agirait peut-être d’un suicide ritualisé tel qu’il se pratique au Japon. Alors, meurtres ou suicides ?
Mais voilà que Mitsukuri Ukita, sculpteur et tatoueur réputé, est lui aussi retrouvé mort. Quant au serveur qui travaillait pour la famille Sôichiro, il préfère se tuer plutôt que de parler au policier. Avec les étrangetés qui se multiplient sur ces affaires, Elie opte de plus en plus pour la thèse des meurtres, persuadé que des assassins peu ordinaires tracent une piste sanglante au travers de la capitale.
Peu à peu, l’inspecteur va se retrouver confronté à un monde aux rites étranges, bien éloignés des dogmes européens. En compagnie de Sarah, il se heurtera à la pieuvre tentaculaire de la mafia japonaise et essayera de boucler son enquête sans y perdre la vie ni mettre en danger celle de la jeune femme.

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Articles de presse

Xavier Houssin, Point de Vue, 12 juillet 2000

Des crimes monstrueux. Des rituels sanglants. Qui est à la tête... " Lire la suite ici

France Dimanche, 19 mai 2000

"Un premier roman de Laurent Scalese qui impose déjà son style et sa dextérité à manier le suspense. Frissons garantis !"

René Vigo, L'Est-éclair, 6 juin 2000

"Voici un suspense garanti, avec angoisses et frissons. Une parfaite connaissance de la culture orientale permet à Laurent Scalese de rendre parfaitement crédible la mafia japonaise. Décor envoûtant, mystères et crimes à répétition tiennent en haleine le lecteur jusqu'à la dernière ligne."

Misandre, extrait du site Les Chroniques de l'Imaginaire, le 17 Octobre 2005

"Pour un premier roman, Laurent Scalese nous offre un polar à la mesure des romans noirs des auteurs anglo-saxons et nous prouve, si besoin en était, que la France abrite aussi d/’excellents écrivains. De même qu’une parfaite maîtrise des thèmes mêlant culture japonaise et fonctionnement de la police française, Laurent Scalese nous convainc grâce à l’authenticité de ses personnages avec un duo attachant qui évolue dans les décors familiers de la ville de Paris. Nul doute que Le samouraï qui pleure augure du meilleur pour la suite."

Zonelivre

Lorsque l’esthétisme et la mort ne font plus qu’un !
Quatre corps retrouvés atrocement mutilés. A première vue, il s’agit d’un sacrifice rituel japonais. Mais certains éléments perturbent Elie Sagane. Notamment aucun des femmes présentes n’auraient pu soulever un sabre aussi lourd et trancher la tête de l’homme.
La criminologue Sarah Duparc tente de décrypter pour tous les subtilités de la culture japonaise mais une certaine tension ambiante l’empêche d’agir sereinement.
Une étrange épidémie secoue la capitale : des japonais ou des personnes liées à l’art de ce pays se suicident. L’ombre des yakusas (de la mafia) plane de plus en plus sur Sagane et son équipe. Et les figures menaçantes de certains tatouages seront les dernières images que certains verront…
Ce roman est réellement un petit bijou. Une écriture très belle, raffinée. Des personnages très travaillés pas forcément attachants dès le départ : entre le lieutenant Sagane, un peu bourru, pas toujours ouvert au dialogue, Sarah Duparc, intelligente mais qui par son apparence mais de la distance avec les autres… et trop de culture n’attire pas forcément la sympathie…
Des scènes d’un réalisme effroyable. Les scènes de « seppuku» notamment, on a le sentiment d’avoir le sabre qui s’enfonce dans son propre corps et qui remonte.
Un esthétisme omniprésent. Les tatouages des yakusas se dessinent sous les yeux du lecteur qui reste comme hypnotisé mais face à de tels prédateurs, la proie ne fait jamais long feu.
On sent que Laurent SCALESE possède une véritable connaissance de la culture japonaise. Il nous offre nous seulement un thriller d’exception mais également une véritable initiation à cet univers.
Un texte écrit avec autant de finesse que la lame du sabre qui s’apprête à trancher un adversaire qui n’aurait jamais dû se dresser face à une beauté venimeuse….
Certains scènes donnent l’impression d’être dans du cinéma asiatique. Un roman qui mériterait vraiment d’être adapté sur le grand écran. J’avais des images de Crying Freeman, et d’autres films dont les noms m’échappent. Les lames s’affrontent, les corps semblent décoller du sol… Lorsque l’esthétisme et la mort ne font plus qu’un.
« Le samouraï qui pleure » séduira tous les fans d’arts martiaux, les amoureux de l’Asie mais également tous les passionnés de littérature policière.
En effet le personnage d’Elie Sagane et le « grain de voix » de certains passages rendent hommage au polar. On sent que Laurent SCALESE maitrise parfaitement tous les codes du thriller (qui correspondent à sa génération) mais qu’il n’en néglige pas pour autant l’héritage des plus anciens (j’ai eu des images de planches de Nestor Burma : Jacques TARDI et LÉO MALET). Paris est également un élément important : son métissage culturel, la vie de certains quartiers…
Un roman que je vous conseille vivement.

Le blog « LE CHAT DU CHESHIRE »

Premier roman que je lis de Laurent Scalese.
L'inspecteur Elie Sagane est dépêché sur une scène de crime, où il trouve les corps mutilés d'une famille possédant un restaurant japonais très apprécié des parisiens. Sarah Duparc, une criminologue spécialisée dans l'histoire de l'Extrême-Orient, voit ici un rituel de suicide tel qu'il apparait au Japon. Mais bientôt, un autre mort est retrouvé, en la personne d'un sculpteur et tatoué réputé.
Cette affaire s'éloigne des sentiers battus pour se plonger dans le monde trouble du Japon, bien éloigné des connaissances du monde européen. Elie Sagane va vite s'apercevoir que son enquête va l'amener à croiser des traditions différentes, mais aussi la mafia et les yakusas... Comment s'en sortir, résoudre l'enquête, éviter tous dommages collatéraux ?
Le Samouraï qui Pleure est vraiment une excellente surprise ! De surprises en fausses pistes, Laurent Scalese a écrit un Thriller qui tient la route de bout en bout. Des personnages tous très intéressants, Elie et Sarah en tête, avec certains attachants, d'autres inquiétants, je ne me suis jamais ennuyée avec eux, et j'ai toujours frissonnée en attendant la suite de leurs aventures. Le décor est particulièrement bien décrit, envoûtant, une porte ouverte sur un autre monde !
Si vous ne connaissez pas encore les écrits de Laurent Scalese, je ne peux que vous conseiller Le Samouraï qui Pleure !

Le blog « CeciBon… De Lire »

J'ai retrouvé dans ce livre, Elie Sagane, que j'avais déjà rencontré dans Le sang de la mariée et c'est avec un vrai bonheur que j'ai retrouvé le rythme soutenu et haletant des thrillers de Laurent Scalese.
Le petit plus de celui-ci est que, en plus de suivre une enquête policière des plus ardues pour découvrir qui sème tous ces cadavres sanguinolents dans Paris, j'ai découvert un monde que je ne connaissais absolument pas : celui de la mafia nippone, mais surtout celui des Samouraïs, Yakuza et autres Ronins. Le texte est parsemé d'explications concernant le code d'honneur de ces guerriers prêts à tout mais aussi décode leurs tatouages et leur histoire.
Je me suis longtemps demandé pourquoi la mafia nippone mettait à feu et à sang Paris, mais lorsque la solution m'a été révélée, j'ai eu la chair de poule parce que cela me semble tellement possible que ça en devient d'autant plus effrayant... peut être parce que :
"L'homme a toujours le désir de quelque monstrueux objet, avait dit un jour Jean Giono."
Vous aurez donc compris que j'ai aimé ce très bon thriller, certes aux ficelles un peu classiques, mais bien écrit. J'en profite donc pour remercier ma super copine Totalybrune qui me l'a prêté et vous encourage plus que vivement à aller lire son billet concernant Le samouraï qui pleure.

Le blog « Histoire d’en lire… »

Un thriller au rythme soutenu.
Un personnage principal , l'inspecteur Elie Sagane, que l'on découvre ici hésitant. Laurent Scalese retranscrit sa voix intérieure, ce qui le rend attachant. Le lecteur a du coup l'impression d'être plus intime avec lui !
L'intrigue au coeur de la mafia japonaise, on note une connaissance de la culture et des traditions du Japon, ce qui confère au roman une dimension culturelle.
A noter que ce thriller est le premier de Laurent Scalese, qui depuis a su devenir un maitre en la matière.
Il m'a donné envie de découvrir ses autres romans.

Le blog « La souris »

Des crimes de plus en plus monstrueux s'enchaînent alors, empêchant Sagane de reprendre son souffle. Et, dans l'ombre, un grand ordonnateur s'acharne, programmant implacablement la terrifiante orchestration de ces meurtres. D'heure en heure, le mystère s'épaissit. Et la vie du lieutenant ne tient plus qu'à un fil...
Le Samouraï qui pleure est un bon thriller, l'intrigue est bien montée, on se retrouve, en tout cas pour moi, au coeur d'une culture plus ou moins inconnue. Laurent Scalese nous plonge dans les mystères de la culture japonaises avec ses traditions, ses silences, sa mafia et ses yakusa, le tout en plein Paris. On découvre le personnage de l'inspecteur Elie Saganne confronté à une série de crimes plus atroces les uns que les autres. Personnage attachant et authentique, que j'aurais plaisir à retrouver dans d'autres aventures.